Informations complémentaires
| Poids | 1,8 kg |
|---|---|
| Classement | Grand cru |
| Couleur | Rouge |
| Millésime | |
| Type de vin | Sec |
| Etat de l'étiquette | Bon état |
| Niveau du vin | Normal |
| Format |
Le Château Beychevelle, classé Quatrième Grand Cru Classé dans l’appellation Saint-Julien, puise ses origines jusqu’en 1565 et règne sur un prestigieux terroir de graves profondes, typiques de la rive gauche bordelaise. Propriété du groupe Grands Millésimes de France — détenu conjointement par Castel et Suntory — il se distingue par un encépagement classique composé principalement de Cabernet Sauvignon (≈60 %), Merlot (≈35 %) et Petit Verdot (≈5 %). La millésime 1966, fruit d’un millésime traditionnel, révèle aujourd’hui un caractère élégant et raffiné, encore marqué par une belle structure, avec des notes de fruits rouges mûrs, de cèdre et une persistante complexité minérale.
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Le Château Beychevelle, classé Quatrième Grand Cru en 1855, se dresse sur le terroir réputé de Saint-Julien, sur des graves garonnaises profondes qui apportent structure et finesse à ses vins. Fondé en 1565 puis redécoré au XVIIIᵉ siècle, il doit son nom à une tradition où les bateaux devaient “baisser la voile” en signe de respect devant le domaine. La propriété s’étend aujourd’hui sur environ 90 hectares de vignes, avec un encépagement traditionnel de 60 % Cabernet Sauvignon, 35 % Merlot et 5 % Petit Verdot, planté à forte densité pour extraire la pureté du fruit. Depuis 2011, elle est détenue par les groupes Castel et Suntory via Grands Millésimes de France, et a connu des rénovations et modernisations tout en préservant son identité classique et raffinée. Le domaine produit également un second vin, Amiral de Beychevelle, et un Haut-Médoc nommé Brulières de Beychevelle. La philosophie œnologique privilégie l’équilibre, l’élégance, la structure tannique mesurée et l’expression du terroir.
Le millésime 1966 du Château Beychevelle s’inscrit dans un registre classique des années 60, aujourd’hui pleinement évolué et élégant. Le vin, désormais mature, présente une élégance raffinée. Le nez déploie des notes de fruits rouges bien mûrs, accompagnées de nuances de cèdre, de réglisse douce et d’un soupçon de pierre à fusil, reflétant la stature minérale de Saint-Julien. En bouche, la structure est moyenne, les tanins sont fondus mais demeurent présents, apportant une texture délicate, veloutée, avec une excellente tension. Des arômes additionnels de tabac blond et de papier à cigarette se mêlent à une complexité tertiaire développée. Le final est élégant, long et empreint de nuances de graphite. Ce flacon incarne pleinement la finesse et le raffinement du terroir dans un style mesuré, où l’équilibre l’emporte sur la puissance. Il constitue un témoin vivant de l’évolution maîtrisée, d’un vin de garde traditionnel, raffiné et expressif, propre au Château Beychevelle dans sa forme la plus nuancée.
| Poids | 1,8 kg |
|---|---|
| Classement | Grand cru |
| Couleur | Rouge |
| Millésime | |
| Type de vin | Sec |
| Etat de l'étiquette | Bon état |
| Niveau du vin | Normal |
| Format |
Fondé en 1565, le Château Beychevelle est l’un des domaines emblématiques de Saint-Julien, classé quatrième grand cru en 1855. Son nom, issu de la légende « baisse voile », reflète une histoire intimement liée au Médoc et à la Garonne. Le vignoble, planté sur des graves profondes, est majoritairement composé de cabernet-sauvignon, complété par du merlot, du cabernet-franc et du petit verdot. Le millésime 1974 illustre un style classique et élégant : issu d’un assemblage traditionnel, vinifié selon les méthodes du domaine et élevé en barriques, il présente aujourd’hui une structure souple et harmonieuse. Les tannins sont fondus, les arômes patinés, et la bouche exprime l’équilibre typique des Saint-Julien à maturité.
Le Domaine et la Cuvée : Le Château Beau‑Séjour Bécot, Premier Grand Cru Classé B de Saint‑Émilion, bénéficie d’une vocation viticole remontant à l’Antiquité, implanté sur le plateau calcaire argilo‑calcaire de l’appellation. Racheté en 1969 par Michel Bécot et modernisé progressivement, il s’appuie aujourd’hui sur un encépagement majoritairement Merlot (environ 70 %), complété par du Cabernet Franc (24 %) et du Cabernet Sauvignon (6 %), le tout sur près de 17 à 18 hectares de vignes. Le millésime 1978, issu d’une année délicate sauvée par un été tardif, offre une expression mature, équilibrée, alliant élégance, notes de fruits noirs, épices et finesse minérale typique du terroir.
Château La Tour du Pin Figeac est un Grand Cru Classé de Saint-Émilion, situé sur le prestigieux plateau graveleux jouxtant Cheval Blanc et Figeac. Son vignoble, composé principalement de merlot, complété par cabernet franc et cabernet-sauvignon, bénéficie d’un terroir mêlant graves et argiles, propice à l’élégance et à la finesse des vins. Le millésime 1967, élaboré selon les méthodes traditionnelles et élevé en barriques de chêne, offre aujourd’hui des tanins fondus et une structure assagie. Les arômes évolués mêlent fruits rouges compotés, tabac, cuir et sous-bois, traduisant la patine et la complexité des vieux Saint-Émilion à maturité avancée.
Château Saint-Georges est une propriété historique située sur la commune de Saint-Georges-Saint-Émilion, sur un terroir argilo-calcaire typique de la rive droite. Son vignoble, dominé par le merlot, complété par le cabernet-franc et le cabernet-sauvignon, produit des vins réputés pour leur souplesse et leur équilibre. Le millésime 1976, marqué par un été chaud et sec, a donné des vins puissants et concentrés dans leur jeunesse, portés par une trame tannique ferme. Vinifié dans la tradition bordelaise et élevé en barriques de chêne, ce Saint-Georges présente aujourd’hui une matière assagie, des tanins fondus et un bouquet évolué de fruits rouges compotés, de tabac et de sous-bois. Un vin ancien, témoin du style chaleureux des millésimes solaires.
Château Lynch-Moussas, Cinquième Grand Cru Classé de Pauillac en 1855, appartient depuis 1919 à la famille Castéja. Situé sur un terroir de graves garonnaises reposant sur un sous-sol argilo-calcaire, son vignoble est planté principalement en cabernet-sauvignon, complété par du merlot. Le millésime 1999, marqué par une année clémente avec des vendanges mûres et abondantes, a produit un vin équilibré, d’une structure souple et accessible. Vinifié selon les méthodes traditionnelles et élevé en barriques de chêne, il exprime aujourd’hui des tanins fondus, une bouche harmonieuse et des arômes évolués de fruits rouges, d’épices et de tabac blond. Un Pauillac plaisant, témoin fidèle de son millésime.
Château Margaux, Premier Grand Cru Classé de 1855, est un domaine emblématique du Médoc, réputé pour l’élégance et la longévité de ses vins. Implanté sur un terroir de graves fines reposant sur un socle calcaire, son vignoble est dominé par le cabernet-sauvignon, complété par le merlot, le cabernet-franc et le petit verdot. Le millésime 1957, marqué par une année fraîche et irrégulière, a donné des vins moins concentrés mais d’une finesse certaine. Vinifié selon les méthodes traditionnelles du domaine et élevé en barriques de chêne, il offre aujourd’hui des tanins totalement fondus, une bouche souple et un bouquet délicat aux notes de fruits secs, de tabac et de sous-bois. Un Margaux ancien, subtil et patiné, témoin d’une époque révolue.
Le Domaine Uchida, installé à Margaux, est un micro-domaine créé par le vigneron japonais Kenji Uchida, qui s’attache à produire des vins naturels et singuliers. Sur un vignoble d’à peine deux hectares, conduit en biodynamie, les vignes de cabernet-sauvignon, merlot et cabernet-franc sont cultivées sans intrants chimiques et vendangées manuellement. La cuvée La Vénus est emblématique de cette approche : un vin naturel, vinifié en levures indigènes, sans intrants ni filtration, avec un soufre limité à la mise. Le millésime 2018, marqué par une maturité généreuse et un équilibre réussi à Bordeaux, a donné un vin à la fois dense et vibrant. Il se distingue aujourd’hui par une bouche énergique, des tanins fins et un bouquet mêlant fruits noirs mûrs, épices et une trame florale.
Le Château Beauséjour s’établit sur l’appellation Puisseguin-Saint-Émilion, au cœur de la rive droite bordelaise. Situé sur un terroir argilo-calcaire typique du secteur, il s’inscrit dans une tradition viticole ancienne et produit des vins structurés, fidèles à l’expression du Merlot. Le millésime 2000, récolté dans des conditions climatiques idéales, offre un équilibre remarquable entre maturité du fruit, trame tannique fondue et fraîcheur préservée. Vinifié dans un style classique, il incarne parfaitement la typicité du cru : un vin solide, sans excès, qui s’est patiné avec le temps tout en conservant une belle tenue.
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