Informations complémentaires
| Poids | 1,8 kg |
|---|---|
| Classement | Grand cru |
| Couleur | Rouge |
| Millésime | |
| Type de vin | Sec |
| Etat de l'étiquette | Bon |
| Niveau du vin | Bas |
| Format |
Château Léoville Poyferré, Deuxième Grand Cru Classé de Saint-Julien depuis 1855, incarne l’élégance et la constance des grands vins du Médoc. Situé sur un terroir de graves profondes mêlées d’argiles, le vignoble associe cabernet-sauvignon, merlot, cabernet-franc et petit verdot. Le millésime 1976, marqué par un été particulièrement chaud et sec, a produit des vins concentrés et puissants, dotés d’une trame tannique ferme. Vinifié selon les méthodes traditionnelles et élevé en barriques de chêne, il présente aujourd’hui une structure assagie, des tanins fondus et un bouquet évolué mêlant fruits confits, cuir, tabac et sous-bois. Un Saint-Julien ancien, témoin d’un millésime solaire.
159,00 €
1 en stock
Château Léoville Poyferré est l’un des trois domaines issus de l’historique Domaine de Léoville, divisé au début du XIXᵉ siècle. Classé Deuxième Grand Cru dans le classement de 1855, il occupe une place de choix au sein de l’appellation Saint-Julien. Le vignoble s’étend aujourd’hui sur environ 80 hectares, implantés sur des graves garonnaises profondes reposant sur un sous-sol argilo-sableux. L’encépagement est dominé par le cabernet-sauvignon (environ 65 %), complété par le merlot (25 %), le cabernet-franc et le petit verdot. Cette diversité permet d’allier structure, finesse et complexité aromatique. Les vendanges sont manuelles, avec un tri minutieux des grappes. La vinification, précise, se déroule en cuves inox thermorégulées, et l’élevage se fait en barriques de chêne français, dont une proportion significative en bois neuf selon les millésimes. Depuis 1979, la direction est assurée par Didier Cuvelier, qui a modernisé les installations et hissé le domaine à un niveau reconnu parmi les références de l’appellation. Les vins de Léoville Poyferré se distinguent par leur équilibre, leur élégance et leur remarquable potentiel de garde, typiques des plus grands Saint-Julien.
Le millésime 1976 de Château Léoville Poyferré est issu d’un assemblage dominé par le cabernet-sauvignon, complété par le merlot, le cabernet-franc et le petit verdot. L’année 1976 a été marquée par un été exceptionnellement chaud et sec, entraînant une forte concentration des raisins et des rendements faibles. Les vendanges, réalisées relativement tôt, ont permis de préserver une certaine fraîcheur dans les baies. La vinification, conduite de manière traditionnelle en cuves, a été suivie d’un élevage en barriques de chêne pendant 18 à 20 mois. Plus de quarante ans après, ce vin présente une robe tuilée et un bouquet riche en notes évoluées : fruits confits, cuir, tabac blond, épices douces et sous-bois. En bouche, la structure initialement puissante s’est assagie, les tanins sont fondus et l’équilibre repose désormais sur une matière veloutée et une acidité discrète. La finale, de longueur moyenne, exprime un style classique, typique des Saint-Julien anciens issus de millésimes solaires. Ce 1976 illustre la capacité de Léoville Poyferré à produire des vins robustes mais élégants, aujourd’hui dégustés pour leur patine et leur authenticité.
| Poids | 1,8 kg |
|---|---|
| Classement | Grand cru |
| Couleur | Rouge |
| Millésime | |
| Type de vin | Sec |
| Etat de l'étiquette | Bon |
| Niveau du vin | Bas |
| Format |
Le Domaine et la Cuvée : Le domaine de Château Lafite‑Rothschild, Premier Grand Cru classé de Pauillac, est établi depuis le XVIIe siècle, acquis par la famille Rothschild en 1868 et réputé pour ses graves fines mêlées de sable éolien sur un socle calcaire. En son sein, les parcelles du plateau des Carruades, intégrées au XIXe siècle, donnent naissance au second vin, Carruades de Lafite‑Rothschild. Le millésime 1952, issu d’un assemblage dominé par le Cabernet Sauvignon (environ 70 %) et le Merlot (30 %), avec une pointe de Cabernet Franc et de Petit Verdot, offre une cuvée équilibrée, douce et d’une grande constance, fidèle à la typicité bordelaise de l’époque.
Le Château Beauséjour s’établit sur l’appellation Puisseguin-Saint-Émilion, au cœur de la rive droite bordelaise. Situé sur un terroir argilo-calcaire typique du secteur, il s’inscrit dans une tradition viticole ancienne et produit des vins structurés, fidèles à l’expression du Merlot. Le millésime 2000, récolté dans des conditions climatiques idéales, offre un équilibre remarquable entre maturité du fruit, trame tannique fondue et fraîcheur préservée. Vinifié dans un style classique, il incarne parfaitement la typicité du cru : un vin solide, sans excès, qui s’est patiné avec le temps tout en conservant une belle tenue.
Château Simone, domaine emblématique de l’appellation Palette, près d’Aix-en-Provence, est réputé pour ses vins rouges et blancs d’une rare complexité. Implanté sur des coteaux calcaires couverts de galets, le vignoble bénéficie d’un microclimat frais qui tempère les excès méditerranéens. Le rouge est issu d’un encépagement varié dominé par le grenache, le mourvèdre et le cinsault, complétés par une large palette de cépages autochtones. Le millésime 2003, marqué par une canicule estivale, a donné un vin riche, concentré et solaire, mais équilibré grâce à l’altitude et à l’exposition du terroir. Aujourd’hui, il exprime des tanins fondus, une bouche ample et un bouquet complexe de fruits noirs, d’épices et de garrigue. Un Palette de grande personnalité.
Château Fombrauge est l’un des plus anciens domaines de Saint-Émilion, dont l’histoire remonte au XVIᵉ siècle. Situé sur un terroir mêlant argilo-calcaire et molasse, il bénéficie d’une diversité géologique rare dans l’appellation. Le vignoble, majoritairement planté en merlot, complété par cabernet-franc et cabernet-sauvignon, est conduit avec une attention particulière à la maturité optimale des raisins. Le millésime 1977, issu d’une vinification traditionnelle et d’un élevage en barriques, exprime aujourd’hui des tanins fondus et une texture assagie. Les arômes évolués mêlent fruits mûrs, sous-bois et notes épicées, reflétant le style souple et élégant des Saint-Émilion à maturité avancée.
Château Margaux, Premier Grand Cru Classé de 1855, est un domaine emblématique du Médoc, réputé pour l’élégance et la longévité de ses vins. Implanté sur un terroir de graves fines reposant sur un socle calcaire, son vignoble est dominé par le cabernet-sauvignon, complété par le merlot, le cabernet-franc et le petit verdot. Le millésime 1957, marqué par une année fraîche et irrégulière, a donné des vins moins concentrés mais d’une finesse certaine. Vinifié selon les méthodes traditionnelles du domaine et élevé en barriques de chêne, il offre aujourd’hui des tanins totalement fondus, une bouche souple et un bouquet délicat aux notes de fruits secs, de tabac et de sous-bois. Un Margaux ancien, subtil et patiné, témoin d’une époque révolue.
Château Talbot, Quatrième Grand Cru Classé de Saint-Julien depuis 1855, est une référence du Médoc par la constance et la solidité de ses vins. Implanté sur un terroir de graves günziennes profondes, le vignoble est dominé par le cabernet-sauvignon, complété par merlot, cabernet-franc et petit verdot. Le millésime 1969, marqué par un été irrégulier et des vendanges sous la pluie, a donné des vins plus légers que dans les grandes années. Vinifié selon les méthodes traditionnelles et élevé en barriques de chêne, il offre aujourd’hui une matière assagie, des tanins fondus et un bouquet évolué de tabac, cuir, sous-bois et fruits secs. Un témoignage ancien du style classique du Médoc.
Château Fombrauge est l’un des plus anciens domaines de Saint-Émilion, dont l’histoire remonte au XVIᵉ siècle. Situé sur un terroir mêlant argilo-calcaire et molasse, il bénéficie d’une diversité géologique rare dans l’appellation. Le vignoble, majoritairement planté en merlot, complété par cabernet-franc et cabernet-sauvignon, est conduit avec une attention particulière à la maturité optimale des raisins. Le millésime 1977, issu d’une vinification traditionnelle et d’un élevage en barriques, exprime aujourd’hui des tanins fondus et une texture assagie. Les arômes évolués mêlent fruits mûrs, sous-bois et notes épicées, reflétant le style souple et élégant des Saint-Émilion à maturité avancée.
Château Calon‑Ségur, classé Troisième Grand Cru de Saint‑Estèphe depuis 1855, est réputé pour ses vins structurés, élégants et puissants, nés sur un terroir graveleux profond et travaillés avec rigueur. Le millésime 1938 témoigne aujourd’hui d’une maturité profonde : issu d’un assemblage historique (cabernet‑sauvignon, merlot, cabernet‑franc, petit verdot), il se caractérise par une texture veloutée, des arômes évolués de sous-bois, d’épices et de fruits très mûrs, avec des tannins fondus. Ce vin ancien incarne la sérénité et la structure harmonieuse que peuvent offrir les grands vins de garde de Saint‑Estèphe à leur apogée.
Château Bouscaut est un Cru Classé de Graves, implanté à Cadaujac, dans l’appellation Pessac-Léognan. Propriété de la famille Lurton depuis 1979, il s’appuie sur un terroir argilo-calcaire aux graves garonnaises, planté majoritairement en merlot, cabernet-sauvignon et malbec, avec une partie en blanc (sémillon et sauvignon). Le millésime 1981 incarne la signature classique du domaine : issu d’une vinification traditionnelle et d’un élevage en barriques françaises, il offre aujourd’hui une structure équilibrée, des tanins fondus et une expression mûre de fruits rouges confits, d’épices et de sous-bois. Une bouteille représentative du style raffiné et pourquoi pas discret, des grands rouges de Graves arrivés à maturité.
Pour vous offrir la meilleure expérience possible, nous utilisons des technologies comme les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations de votre appareil. En acceptant ces technologies, vous nous autorisez à traiter des données telles que votre comportement de navigation ou vos identifiants uniques sur ce site. Ne pas consentir ou retirer votre consentement peut affecter certaines fonctionnalités.

Avis
Il n’y a pas encore d’avis.