Informations complémentaires
| Poids | 1,8 kg |
|---|---|
| Couleur | Rouge |
| Millésime | |
| Type de vin | Sec |
| Etat de l'étiquette | Moyen |
| Niveau du vin | Normal |
| Format |
Château Saint-Georges est une propriété historique située sur la commune de Saint-Georges-Saint-Émilion, sur un terroir argilo-calcaire typique de la rive droite. Son vignoble, dominé par le merlot, complété par le cabernet-franc et le cabernet-sauvignon, produit des vins réputés pour leur souplesse et leur équilibre. Le millésime 1976, marqué par un été chaud et sec, a donné des vins puissants et concentrés dans leur jeunesse, portés par une trame tannique ferme. Vinifié dans la tradition bordelaise et élevé en barriques de chêne, ce Saint-Georges présente aujourd’hui une matière assagie, des tanins fondus et un bouquet évolué de fruits rouges compotés, de tabac et de sous-bois. Un vin ancien, témoin du style chaleureux des millésimes solaires.
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Château Saint-Georges est l’un des domaines emblématiques de l’appellation Saint-Georges-Saint-Émilion, située dans le prolongement naturel du plateau de Saint-Émilion. La propriété s’étend sur environ 45 hectares autour d’un château néoclassique du XVIIIᵉ siècle, au cœur d’un paysage viticole d’exception. Le terroir repose sur des sols argilo-calcaires, parfois mêlés d’éboulis graveleux, qui offrent des conditions idéales pour la culture du merlot, cépage dominant (près de 80 %), complété par le cabernet-franc et le cabernet-sauvignon. Ces sols confèrent aux vins une combinaison de rondeur, de finesse et de structure. La conduite du vignoble repose sur des rendements maîtrisés et des vendanges manuelles. La vinification s’opère en cuves béton ou inox, avec une extraction douce, puis le vin est élevé en barriques de chêne pendant 12 à 18 mois, dont une part en bois neuf. L’identité de Château Saint-Georges s’inscrit dans la tradition des crus de la rive droite : des vins accessibles dans leur jeunesse, mais capables de vieillir avec élégance, alliant charme aromatique et équilibre structurel. Ce profil constant, conjugué à un terroir privilégié, confère au domaine une notoriété solide auprès des amateurs de Saint-Émilion.
Le millésime 1976 de Château Saint-Georges est issu d’un assemblage dominé par le merlot, complété par le cabernet-franc et le cabernet-sauvignon. L’année fut marquée par une canicule estivale, qui entraîna une forte concentration des raisins et des vendanges précoces. Les baies récoltées présentaient une richesse naturelle élevée mais aussi des tanins fermes, caractéristiques des millésimes solaires. La vinification, traditionnelle, fut suivie d’un élevage en barriques de chêne d’une durée d’environ 12 à 18 mois. Aujourd’hui, après près de cinquante ans, ce 1976 arbore une robe grenat tuilée aux reflets bruns. Le bouquet exprime des notes évoluées de fruits rouges compotés, de pruneau, de tabac blond, de cuir et de sous-bois. En bouche, la structure initialement ferme s’est assagie, les tanins sont fondus et la texture est désormais souple et veloutée. L’acidité encore présente assure une certaine fraîcheur, et la finale, de longueur moyenne, s’achève sur des nuances épicées et terreuses. Ce 1976 illustre parfaitement le style d’un grand millésime chaud de la rive droite : richesse initiale, robustesse dans sa jeunesse, et aujourd’hui une patine harmonieuse qui en fait un vin de mémoire, apprécié pour sa finesse et son authenticité.
| Poids | 1,8 kg |
|---|---|
| Couleur | Rouge |
| Millésime | |
| Type de vin | Sec |
| Etat de l'étiquette | Moyen |
| Niveau du vin | Normal |
| Format |
Château Mouton Rothschild, Premier Grand Cru Classé depuis 1973, est l’un des noms les plus prestigieux du Médoc. Son vignoble de 90 hectares, situé sur des croupes de graves profondes, est dominé par le cabernet-sauvignon, complété par merlot, cabernet-franc et petit verdot. Le millésime 1970, marqué par des conditions climatiques favorables, a donné des vins puissants et structurés, promis à une grande garde. Vinifié avec soin et élevé longuement en barriques neuves, ce Mouton Rothschild présente aujourd’hui une matière assagie, des tanins fondus et un bouquet complexe où se mêlent cassis, tabac, cuir et notes épicées. Un Pauillac noble et raffiné, témoin d’un millésime classique.
Château Pichon Longueville Comtesse de Lalande, Deuxième Grand Cru Classé de Pauillac depuis 1855, est réputé pour l’élégance et la finesse de ses vins. Situé sur des graves profondes mêlées à des argiles, son vignoble associe cabernet-sauvignon, merlot, cabernet-franc et petit verdot, avec une proportion de merlot historiquement plus élevée que dans d’autres crus de Pauillac, conférant rondeur et souplesse. Le millésime 1975, marqué par un été chaud et sec, a donné des vins puissants, concentrés et tanniques. Vinifié de manière traditionnelle et élevé en barriques, il offre aujourd’hui une matière assagie, des tanins patinés et un bouquet évolué de fruits noirs, tabac, cuir et sous-bois. Un Pauillac ancien, solide et racé.
Château Léoville Poyferré, Deuxième Grand Cru Classé de Saint-Julien depuis 1855, incarne l’élégance et la constance des grands vins du Médoc. Situé sur un terroir de graves profondes mêlées d’argiles, le vignoble associe cabernet-sauvignon, merlot, cabernet-franc et petit verdot. Le millésime 1976, marqué par un été particulièrement chaud et sec, a produit des vins concentrés et puissants, dotés d’une trame tannique ferme. Vinifié selon les méthodes traditionnelles et élevé en barriques de chêne, il présente aujourd’hui une structure assagie, des tanins fondus et un bouquet évolué mêlant fruits confits, cuir, tabac et sous-bois. Un Saint-Julien ancien, témoin d’un millésime solaire.
Château Lynch-Moussas, Cinquième Grand Cru Classé de Pauillac en 1855, appartient depuis 1919 à la famille Castéja. Situé sur un terroir de graves garonnaises reposant sur un sous-sol argilo-calcaire, son vignoble est planté principalement en cabernet-sauvignon, complété par du merlot. Le millésime 1999, marqué par une année clémente avec des vendanges mûres et abondantes, a produit un vin équilibré, d’une structure souple et accessible. Vinifié selon les méthodes traditionnelles et élevé en barriques de chêne, il exprime aujourd’hui des tanins fondus, une bouche harmonieuse et des arômes évolués de fruits rouges, d’épices et de tabac blond. Un Pauillac plaisant, témoin fidèle de son millésime.
Château Bouscaut est un Cru Classé de Graves, implanté à Cadaujac, dans l’appellation Pessac-Léognan. Propriété de la famille Lurton depuis 1979, il s’appuie sur un terroir argilo-calcaire aux graves garonnaises, planté majoritairement en merlot, cabernet-sauvignon et malbec, avec une partie en blanc (sémillon et sauvignon). Le millésime 1981 incarne la signature classique du domaine : issu d’une vinification traditionnelle et d’un élevage en barriques françaises, il offre aujourd’hui une structure équilibrée, des tanins fondus et une expression mûre de fruits rouges confits, d’épices et de sous-bois. Une bouteille représentative du style raffiné et pourquoi pas discret, des grands rouges de Graves arrivés à maturité.
Château Mouton Rothschild, Premier Grand Cru Classé depuis 1973, est l’un des joyaux du Médoc, réputé pour la puissance et la richesse de ses vins. Son vignoble, situé sur des croupes de graves profondes, est dominé par le cabernet-sauvignon, complété par le merlot, le cabernet-franc et le petit verdot. Le millésime 1971, marqué par une météo contrastée et des vendanges relativement précoces, a produit des vins souples et élégants, moins concentrés que les grandes années. Vinifié selon les méthodes traditionnelles du domaine et élevé en barriques neuves, il offre aujourd’hui une bouche assagie, des tanins fondus et un bouquet évolué mêlant fruits secs, cuir et notes épicées. Un Pauillac raffiné, reflet d’un millésime discret mais charmant.
Château Talbot, Quatrième Grand Cru Classé de Saint-Julien depuis 1855, est une référence du Médoc par la constance et la solidité de ses vins. Implanté sur un terroir de graves günziennes profondes, le vignoble est dominé par le cabernet-sauvignon, complété par merlot, cabernet-franc et petit verdot. Le millésime 1969, marqué par un été irrégulier et des vendanges sous la pluie, a donné des vins plus légers que dans les grandes années. Vinifié selon les méthodes traditionnelles et élevé en barriques de chêne, il offre aujourd’hui une matière assagie, des tanins fondus et un bouquet évolué de tabac, cuir, sous-bois et fruits secs. Un témoignage ancien du style classique du Médoc.
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